Déterminer vos besoins:
Chacun de vous aura des exigences bien spécifiques. Cela pourra varier de la souplesse d’utilisation à la puissance, au confort thermique désiré en passant bien sur par la case économie.
Quels vont être vos besoins? Allez vous utiliser votre installation comme système de chauffage principal? Comme chauffage d’appoint?La production d’eau chaude sanitaire dépendra de cette installation? Quel type de logement avez vous (appartement, maison, du neuf, de la rénovation, bonne ou moyenne isolation thermique…) Est-ce un grand logement? Quel investissement pouvez vous engager? Il est bien évident que le coût d’investissement et l’évolution du prix des énergies seront les facteurs déterminants du choix à faire. Certains professionnels du chauffage argumentent beaucoup sur ces deux facteurs, d’autres y rajoutent le plan environnemental (de plus en plus).
Le mieux à notre sens, sera de faire appel à un professionnel afin de faire un bilan thermique de votre habitation avec précision pour voir si vous pouvez installer un radiateur électrique.
Coût et rentabilité: pensez en terme d’avenir
Ne perdez pas de vue que le prix de l’énergie évolue plus vite (et de loin) que l’ensemble des prix. Depuis 20012 il s’est même littéralement envolé et ce n’est pas fini. Nos factures de chauffage s’alourdissent d’années en années.
Bien sur des différences flagrantes existent en termes de coût d’utilisation entre les énergies proposéees par l’univerS du chauffage. Mais toutes augmentent, ça c’est certain. Les énergies classiques (fuel, gaz, électricité) sont chères, les nouvelles énergies (renouvelables) le sont moins, mais demande un solide investissement de base pour être performantes. De toute manière mieux vaut calculer l’amortissement de votre installation en anticipant le prix de l’énergie à payer dans l’avenir. Anticiper vous évitera de mauvais calculs. N’oubliez pas de bien utiliser les normes et les labels qui régissent l’univer du chauffage afin de bien vous prémunir contre des surprises désagréables. (certains syStèmes de chauffage peu coûteux sont peu performants mais reviennent au final des frais d’utilisation, aussi et même plus cher que d’autres plus onéreux à la base.